<div><blockquote class="gmail_quote" style="border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; padding-left: 1ex;">> A quel moment les personnes désorientées ont-elles été génées par le<br>> caractère ouvert de squeak? En voulant faire quelle action ou obtenir
<br>> quel résultat?<br>Dans la situation où ils réalisent un "produit didactique" utilisable<br>par d'autres. Ils souhaitent (vainement à mon avis - que le produit en<br>question soit fermé ou non) maîtriser ce qui va ce passer entre
<br>l'usager et leur production.<br><br>Je pense qu'il y a là un vrai sujet de réflexion.</blockquote><div><br>Je pense aussi qu'il faut réfléchir sur la "fermeture" d'un produit en éducation ("idiot-proof").
<br>Squeak a cet immense avantage d'être dans le parfait opposé. Cela destabilise grandement les enseignants qui ont besoin de "sécurité" quand ils mettent les enfants devant la machine. Cette dernière, pour eux, n'est souvent qu'un ustensile servant à exécuter certaines tâches précises, plutôt qu'un outil permettant l'exploration d'idées. À l'école, on "applique" des idées et il viendrait à très peu de gens qu'on peut aussi les explorer...
<br>Le LOGO possèdait (et possède toujours) cette capacité, et je me rappelle, au début des années 80, un conseiller pédagogique qui a fait un espèce de pas à pas "pédagoplate" pour sécuriser non pas les élèves, mais les enseignants. Il était complètement "à côté de la trac" (pardonnez l'expression québécoise). 25 ans plus tard, a-t-on vraiment évolué?
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